Yves HASSELMANN (1948)
Acrylique originale sur toile 1999
 " Petite Noire "
Titrée au dos
Signée et Datée au dos

Cadre : 34,5 x 34,5 cm
Œuvre : 30 x 30 cm

Yves Hasselmann expose pour la première fois à Paris en 1976.
Lauréat d’un concours national organisé à l’époque par la Galerie 34, il obtient le premier prix et accroche avec succès ses paysages à tendances abstraites.
Encore influencé par Nicolas de Staël, il y décline les traces de paysages intérieurs cernés par sa mémoire.
Ses rencontres, avec les peintres Jean Messagier et Ladislas Kijno avec qui il entretient un rapport presque filial et d'amitié, le font s'orienter vers une peinture plus personnelle, reflet pertinent de son expression musicale.
Dès lors, son travail de peintre se caractérise par de nombreuses séries réalisées au fil de son inspiration à l’image de suites symphoniques ou concerti.
Il s’obstine sur chaque projet et « fait le tour de la question ».
Chaque œuvre, chaque série est un véritable chalenge.

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Yves Hasselmann exhibited for the first time in Paris in 1976.
Winner of a national competition organized at the time by Galerie 34, he won first prize and successfully hung his landscapes with abstract tendencies.
Still influenced by Nicolas de Staël, he declines the traces of interior landscapes surrounded by his memory.
His encounters with the painters Jean Messagier and Ladislas Kijno with whom he maintains an almost filial and friendly relationship, led him to move towards a more personal painting, a relevant reflection of his musical expression.
From then on, his work as a painter is characterized by numerous series produced over the course of his inspiration, such as symphonic suites or concerti.
He persists in each project and "goes around the question".
Each work, each series is a real challenge.
Lauréat d’un concours national organisé à l’époque par la Galerie 34, il obtient le premier prix et accroche avec succès ses paysages à tendances abstraites. Ses rencontres, avec les peintres Jean Messagier et Ladislas Kijno avec qui il entretient un rapport presque filial et d'amitié, le font s'orienter vers une peinture plus personnelle, reflet pertinent de son expression musicale. Dès lors, son travail de peintre se caractérise par de nombreuses séries réalisées au fil de son inspiration à l’image de suites symphoniques ou concerti. His encounters with the painters Jean Messagier and Ladislas Kijno with whom he maintains an almost filial and friendly relationship, led him to move towards a more personal painting, a relevant reflection of his musical expression. From then on, his work as